Probablement le couple le plus destroy de l'histoire du punk anglais, faut-il encore présenter Sid Vicious, éphémère bassiste des Sex Pistols, et sa relation tumultueuse avec la groupie Nancy Spungen ? Dépendant à l'héroïne, violent, le couple connaît une issue tragique avec le meurtre non-résolu de Nancy le 12 octobre 1978 dans la chambre 100 du Chelsea Hotel à New York, puis la mort par overdose de Sid le 2 février 1979.
Mais que s'est-il donc passé dans cette chambre d'hôtel ? Qui a poignardé Nancy Spungen ? Des questions auxquelles ce documentaire ne peut évidemment pas répondre, mais il présente une timeline précise des événements de cette nuit tragique. Et il dresse un portrait complet de Sid et Nancy grâce à de nombreuses interviews d'amis, de musiciens, d'auteurs, d'artistes ou de proches qui ont connu le couple.
Parmi les interviews, on note Sylvain Sylvain (New York Dolls), Walter Lure (The Heatbreakers), le photographe Bob Gruen, le manager Leee Black Childers, Howie Pyro (D Generation), Kenny Gordon (Pure Hell), Cynthia Ross (The B- Girls) et bien d'autres.
"Sad Vacation: The Last Days of Sid And Nancy" retrace la relation chaotique de Sid Vicious et Nancy Spungen, jusqu'à la mort de cette dernière dans la chambre qu'elle partageait avec le musicien au Chelsea Hotel. Avec comme toile de fond la séparation des Sex Pistols et la courte période de deux mois où Nancy a pris le rôle de manager de Sid. Avec ses hauts et ses bas.
Que la mort de Nancy soit un accident, un double suicide à moitié accompli ou encore l'oeuvre d'un dealer inconnu, ce documentaire ne prétend pas vouloir résoudre ce crime. Il laisse le soin aux spectateurs d'assembler les pièces des derniers jours du couple à travers de riches témoignages, documents et photos d'archives réunis par le réalisateur Danny Garcia.
Malgré tout, la majorité des interviews rejette l'hypothèse selon laquelle Sid aurait intentionnellement assassiné la femme qu'il aimait. Son décès avant le procès ayant emporté toute possibilité de vérité, à vous donc de vous faire votre propre avis en visionnant ce documentaire.
Probablement le couple le plus destroy de l'histoire du punk anglais, faut-il encore présenter Sid Vicious, éphémère bassiste des Sex Pistols, et sa relation tumultueuse avec la groupie Nancy Spungen ? Dépendant à l'héroïne, violent, le couple connaît une issue tragique avec le meurtre non-résolu de Nancy le 12 octobre 1978 dans la chambre 100 du Chelsea Hotel à New York, puis la mort par overdose de Sid le 2 février 1979.
Mais que s'est-il donc passé dans cette chambre d'hôtel ? Qui a poignardé Nancy Spungen ? Des questions auxquelles ce documentaire ne peut évidemment pas répondre, mais il présente une timeline précise des événements de cette nuit tragique. Et il dresse un portrait complet de Sid et Nancy grâce à de nombreuses interviews d'amis, de musiciens, d'auteurs, d'artistes ou de proches qui ont connu le couple.
Parmi les interviews, on note Sylvain Sylvain (New York Dolls), Walter Lure (The Heatbreakers), le photographe Bob Gruen, le manager Leee Black Childers, Howie Pyro (D Generation), Kenny Gordon (Pure Hell), Cynthia Ross (The B- Girls) et bien d'autres.
"Sad Vacation: The Last Days of Sid And Nancy" retrace la relation chaotique de Sid Vicious et Nancy Spungen, jusqu'à la mort de cette dernière dans la chambre qu'elle partageait avec le musicien au Chelsea Hotel. Avec comme toile de fond la séparation des Sex Pistols et la courte période de deux mois où Nancy a pris le rôle de manager de Sid. Avec ses hauts et ses bas.
Que la mort de Nancy soit un accident, un double suicide à moitié accompli ou encore l'oeuvre d'un dealer inconnu, ce documentaire ne prétend pas vouloir résoudre ce crime. Il laisse le soin aux spectateurs d'assembler les pièces des derniers jours du couple à travers de riches témoignages, documents et photos d'archives réunis par le réalisateur Danny Garcia.
Malgré tout, la majorité des interviews rejette l'hypothèse selon laquelle Sid aurait intentionnellement assassiné la femme qu'il aimait. Son décès avant le procès ayant emporté toute possibilité de vérité, à vous donc de vous faire votre propre avis en visionnant ce documentaire.
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