The Rebel Riot
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"Le mode de vie "punk", c'est simplement celui qu'on a choisi. À vous de voir si vous voulez continuer à vivre comme des punks à l'avenir. On ne vous en voudra pas si vous arrêtez. Pas de pression, on se contente de tracer le chemin pour vous. On veut que ce chemin soit paisible, pas comme il a été pour nous."
Dans une Birmanie qui se libère lentement du joug militaire, Kyaw Kyaw, ses cheveux en pic teints en bleu ou en blond, portant des bracelets à clous, des badges Ramones et une veste en cuir, développe le mouvement punk à Rangoun tout en incitant les jeunes de son pays à renouer avec la philosophie de paix du Bouddha.
Ce jeune punk birman de 25 ans rêve d’une révolution musicale punk dans son pays. L'ancienne dictature militaire de Birmanie a mené quelques réformes démocratiques, mais il reste sceptique : selon lui, le pays n’a pas vraiment changé. Avec les membres du collectif punk Common Street et de son propre groupe, The Rebel Riot, il tente de sensibiliser la population aux violations persistantes des droits de l'Homme dont elle est victime.
Par sa musique et ses manifestations dans les rues, il critique la guerre civile en cours et les persécutions contre les minorités ethniques. Il décide d’entamer alors un long voyage à travers le pays pour promouvoir sa philosophie auprès des jeunes générations, prônant une symbiose entre le bouddhisme et la culture punk et rejetant tout précepte religieux et doctrine politique.
Mais tout en luttant pour la liberté et en prêchant l'importance de l'autonomie individuelle, il est confronté à la difficulté de rester fidèle à ses propres idéaux.
Notre avis :
Le réalisateur allemand Andreas Hartmann s’est très tôt passionné pour la jeunesse dans une Asie en transition. Il s’est intéressé à la situation birmane et a suivi pendant plusieurs mois le collectif de Punk Rock de Rangoun, Common Street. Il est allé à la rencontre de Kyaw Kyaw, un personnage passionnant et hors du commun.
Le jeune homme est convaincu que la société birmane doit et peut changer selon les principes de base du bouddhisme et du punk, qu’il réunit dans une même philosophie : le "do it yourself", à l’aube de la transition démocratique que connaît le pays. Andreas le suit, lui et son groupe, alors qu’il essaie, par petites doses, de convaincre d’autres jeunes de réfléchir à la nouvelle voie qui s’offre au pays : la démocratie, le changement, mais avant tout la liberté et la richesse de vivre ensemble.
"Pense par toi-même !" Telle est la leçon de bouddhisme de ce jeune punk birman dans ce documentaire qui illustre, à travers ce personnage insolite, un pays en proie à ses déchirements identitaires et ses premiers pas vers une démocratie frémissante.
"Le mode de vie "punk", c'est simplement celui qu'on a choisi. À vous de voir si vous voulez continuer à vivre comme des punks à l'avenir. On ne vous en voudra pas si vous arrêtez. Pas de pression, on se contente de tracer le chemin pour vous. On veut que ce chemin soit paisible, pas comme il a été pour nous."
Dans une Birmanie qui se libère lentement du joug militaire, Kyaw Kyaw, ses cheveux en pic teints en bleu ou en blond, portant des bracelets à clous, des badges Ramones et une veste en cuir, développe le mouvement punk à Rangoun tout en incitant les jeunes de son pays à renouer avec la philosophie de paix du Bouddha.
Ce jeune punk birman de 25 ans rêve d’une révolution musicale punk dans son pays. L'ancienne dictature militaire de Birmanie a mené quelques réformes démocratiques, mais il reste sceptique : selon lui, le pays n’a pas vraiment changé. Avec les membres du collectif punk Common Street et de son propre groupe, The Rebel Riot, il tente de sensibiliser la population aux violations persistantes des droits de l'Homme dont elle est victime.
Par sa musique et ses manifestations dans les rues, il critique la guerre civile en cours et les persécutions contre les minorités ethniques. Il décide d’entamer alors un long voyage à travers le pays pour promouvoir sa philosophie auprès des jeunes générations, prônant une symbiose entre le bouddhisme et la culture punk et rejetant tout précepte religieux et doctrine politique.
Mais tout en luttant pour la liberté et en prêchant l'importance de l'autonomie individuelle, il est confronté à la difficulté de rester fidèle à ses propres idéaux.
Notre avis :
Le réalisateur allemand Andreas Hartmann s’est très tôt passionné pour la jeunesse dans une Asie en transition. Il s’est intéressé à la situation birmane et a suivi pendant plusieurs mois le collectif de Punk Rock de Rangoun, Common Street. Il est allé à la rencontre de Kyaw Kyaw, un personnage passionnant et hors du commun.
Le jeune homme est convaincu que la société birmane doit et peut changer selon les principes de base du bouddhisme et du punk, qu’il réunit dans une même philosophie : le "do it yourself", à l’aube de la transition démocratique que connaît le pays. Andreas le suit, lui et son groupe, alors qu’il essaie, par petites doses, de convaincre d’autres jeunes de réfléchir à la nouvelle voie qui s’offre au pays : la démocratie, le changement, mais avant tout la liberté et la richesse de vivre ensemble.
"Pense par toi-même !" Telle est la leçon de bouddhisme de ce jeune punk birman dans ce documentaire qui illustre, à travers ce personnage insolite, un pays en proie à ses déchirements identitaires et ses premiers pas vers une démocratie frémissante.
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