"Chris était la version américaine de Lemmy, au début des années 80. C'était Lemmy, mais encore plus dingue, incontrôlable... C'était le rock n' roll. La scène de Los Angeles en avait besoin pour sortir du mouvement Glam Rock qui était populaire."
Si le nom de Chris Holmes ne vous dit peut-être rien, celui de W.A.S.P. vous parlera probablement plus. Chris Holmes est l'un des fondateurs du groupe de Heavy/Glam américain. Responsable en grande partie du son de W.A.S.P. de 1983 à 1990, il s'estime bridé par le chanteur Blackie Lawless et quitte le groupe. S'ensuit un passage à vide qui prive le guitariste de la renommée qu'il aurait pu avoir.
"Mean Man: The Story of Chris Holmes" suit l'histoire et la carrière de ce guitariste légendaire à travers son ascension, son déclin, ses addictions, son combat pour récupérer les droits d'auteur de ses propres chansons, ainsi que sa renaissance grâce à sa femme, son déménagement en France et son nouveau groupe.
Notre avis :
Ce documentaire rend enfin l'hommage qui lui est dû à un guitariste encensé par ses pairs (notamment Tony Iommi), mais relégué malgré lui dans l'ombre de Blackie Lawless. Il montre qu'à 60 ans passés, Chris Holmes est resté le même showman qu'il était dans les années 80 et qu'il apprécie toujours autant le contact avec les fans.
"Chris était la version américaine de Lemmy, au début des années 80. C'était Lemmy, mais encore plus dingue, incontrôlable... C'était le rock n' roll. La scène de Los Angeles en avait besoin pour sortir du mouvement Glam Rock qui était populaire."
Si le nom de Chris Holmes ne vous dit peut-être rien, celui de W.A.S.P. vous parlera probablement plus. Chris Holmes est l'un des fondateurs du groupe de Heavy/Glam américain. Responsable en grande partie du son de W.A.S.P. de 1983 à 1990, il s'estime bridé par le chanteur Blackie Lawless et quitte le groupe. S'ensuit un passage à vide qui prive le guitariste de la renommée qu'il aurait pu avoir.
"Mean Man: The Story of Chris Holmes" suit l'histoire et la carrière de ce guitariste légendaire à travers son ascension, son déclin, ses addictions, son combat pour récupérer les droits d'auteur de ses propres chansons, ainsi que sa renaissance grâce à sa femme, son déménagement en France et son nouveau groupe.
Notre avis :
Ce documentaire rend enfin l'hommage qui lui est dû à un guitariste encensé par ses pairs (notamment Tony Iommi), mais relégué malgré lui dans l'ombre de Blackie Lawless. Il montre qu'à 60 ans passés, Chris Holmes est resté le même showman qu'il était dans les années 80 et qu'il apprécie toujours autant le contact avec les fans.
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