"Je ne voulais pas organiser de concerts dans des clubs et des bars. Je voulais vraiment trouver des endroits comme des studios de répétition dans les entrepôts du centre-ville au bord de la rivière de Los Angeles. Je pensais aussi qu'en trouvant des endroits plus éloignés, je resterais sous le radar de la police de Los Angeles."
Avant le Burning Man, le Lollapalooza et Coachella, dix ans avant les Generator Parties qui ont mené au mouvement Stoner, il y avait Desolation Center.
Fondé par Stuart Swezey au début des années 80, cette petite entité est la première à organiser des concerts dans le désert californien avec les groupes de punk rock américains Minutemen, Savage Republic et Meat Puppets, le groupe de musique industrielle allemand Einstürzende Neubauten, les New-yorkais Sonic Youth, avec également des performances extrêmes de Mark Pauline et Boyd Rice.
Découvrez dans ce documentaire comment Desolation Center a transformé une génération.
Stuart Swezey retrace le parcours de Desolation Center avec de nombreuses interviews d'artistes et du public qui ont participé à ces événements historiques et témoins d'une époque de liberté où tout semblait possible.
Les quelques concerts du Desolation Center ont par la suite fortement inspiré des festivals comme le Burning Man, Lollapalooza et Coachella, comme cela est raconté par les organisateurs eux-mêmes. Une histoire inédite des musiques alternatives qui sent bon le punk, la poussière et le Do It Yourself.
"Stuart Swezey sort un puissant film sur ses propres concerts organisés dans les années 80, déterminants pour la scène punk d'Hollywood. [...] En s'arrêtant avant que tout devienne trop gros, trop moche, Stuart Swezey a créé un mythe dont la force et les images restent d'une puissance inouïe." (Libération)
"Desolation Center retrace l’épopée magique d’une jeunesse américaine, celle de Los Angeles au début des années 80, dopée aux sensations fortes, qui a communié dans la joie, l’amour et (surtout) l’anarchie durant une folle année d’expérimentations en plein désert." (SoFilm)
"Je ne voulais pas organiser de concerts dans des clubs et des bars. Je voulais vraiment trouver des endroits comme des studios de répétition dans les entrepôts du centre-ville au bord de la rivière de Los Angeles. Je pensais aussi qu'en trouvant des endroits plus éloignés, je resterais sous le radar de la police de Los Angeles."
Avant le Burning Man, le Lollapalooza et Coachella, dix ans avant les Generator Parties qui ont mené au mouvement Stoner, il y avait Desolation Center.
Fondé par Stuart Swezey au début des années 80, cette petite entité est la première à organiser des concerts dans le désert californien avec les groupes de punk rock américains Minutemen, Savage Republic et Meat Puppets, le groupe de musique industrielle allemand Einstürzende Neubauten, les New-yorkais Sonic Youth, avec également des performances extrêmes de Mark Pauline et Boyd Rice.
Découvrez dans ce documentaire comment Desolation Center a transformé une génération.
Stuart Swezey retrace le parcours de Desolation Center avec de nombreuses interviews d'artistes et du public qui ont participé à ces événements historiques et témoins d'une époque de liberté où tout semblait possible.
Les quelques concerts du Desolation Center ont par la suite fortement inspiré des festivals comme le Burning Man, Lollapalooza et Coachella, comme cela est raconté par les organisateurs eux-mêmes. Une histoire inédite des musiques alternatives qui sent bon le punk, la poussière et le Do It Yourself.
"Stuart Swezey sort un puissant film sur ses propres concerts organisés dans les années 80, déterminants pour la scène punk d'Hollywood. [...] En s'arrêtant avant que tout devienne trop gros, trop moche, Stuart Swezey a créé un mythe dont la force et les images restent d'une puissance inouïe." (Libération)
"Desolation Center retrace l’épopée magique d’une jeunesse américaine, celle de Los Angeles au début des années 80, dopée aux sensations fortes, qui a communié dans la joie, l’amour et (surtout) l’anarchie durant une folle année d’expérimentations en plein désert." (SoFilm)
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