"Est-ce un problème de vendre son âme à Satan pour aller en Norvège ? Je ne vois aucun problème. C'est une raison suffisante car nous pouvons réaliser nos rêves. Je le ferais plusieurs fois si je le pouvais."
Et vous, jusqu'où iriez-vous pour la musique que vous aimez ?
Dans ce documentaire, suivez trois "die hard" fans de Black Metal. Sina, le seul musicien de Black Metal en Iran, qui risque la prison dans son pays et donne son premier concert à l'Inferno Metal Festival en Norvège. Héctor, membre du groupe colombien Luciferian, qui ne jure que par le satanisme. Et Kaiadas, bassiste du groupe grec Naer Mataron, qui a par ailleurs été élu député au Parlement grec pour le parti d'extrême droite (et même néo-nazi) Aube dorée.
Notre avis :
"Blackhearts" explore le développement mondial de la scène Black Metal contre les normes religieuses, culturelles et politiques, à travers le portrait de plusieurs personnages qui vouent un culte à la Norvège et parfois, prennent des risques pour jouer cette musique.
Un regard assez original, intime et personnel sur le Black Metal, bien qu'il est regrettable d'avoir donné une tribune à Naer Mataron et surtout à son leader, ouvertement néo-nazi.
"Est-ce un problème de vendre son âme à Satan pour aller en Norvège ? Je ne vois aucun problème. C'est une raison suffisante car nous pouvons réaliser nos rêves. Je le ferais plusieurs fois si je le pouvais."
Et vous, jusqu'où iriez-vous pour la musique que vous aimez ?
Dans ce documentaire, suivez trois "die hard" fans de Black Metal. Sina, le seul musicien de Black Metal en Iran, qui risque la prison dans son pays et donne son premier concert à l'Inferno Metal Festival en Norvège. Héctor, membre du groupe colombien Luciferian, qui ne jure que par le satanisme. Et Kaiadas, bassiste du groupe grec Naer Mataron, qui a par ailleurs été élu député au Parlement grec pour le parti d'extrême droite (et même néo-nazi) Aube dorée.
Notre avis :
"Blackhearts" explore le développement mondial de la scène Black Metal contre les normes religieuses, culturelles et politiques, à travers le portrait de plusieurs personnages qui vouent un culte à la Norvège et parfois, prennent des risques pour jouer cette musique.
Un regard assez original, intime et personnel sur le Black Metal, bien qu'il est regrettable d'avoir donné une tribune à Naer Mataron et surtout à son leader, ouvertement néo-nazi.
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